Le 12 octobre 2015 00 :30 AM , Après mon travail de nuit, je rentre à mon domicile familial et ma femme Houda Doumi est absente ainsi que mes deux enfants,  Zineb et Rayan; 

 

Le 12 octobre 2015 à 02H00 du matin , inquiet et après les avoir recherchés sans succès j'appelle le 911 pour  les informer de la disparition de ma femme et mes enfants;

Ce même jour à 13H00, le 911 me demande de  me présenter au poste de police du quartier 26 situé sur le boul.  Décarie;

 

Interrogé par l'enquêteur sur des accusations de violence, j’affirme que toutes ces accusations sont fausses et visent à m’écarter. J'en conclut  que ma femme souhaite me piéger car elle veut refaire sa vie avec un autre homme sans avoir à transiger avec moi pour les enfants. J'apprends abasourdi le dépôt de plainte de ma femme à mon égard : 1-violence conjugale, 2- agression sur mineur, 3-incitation à des actes sexuelle. Je demande à passer au détecteur de mensonge mais l’enquêteur refuse car il faut un mandat.

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Le 14 octobre 2015 après ma sortie de prison de 3 jours, la DPJ (direction de la protection de la jeunesse) a conclu que je suis l'agresseur de ma fille et cela après 3 RDV, l'agente n'a effectuée aucune expertise psychologique et elle m'a interdit de voir mes enfants du fait que je sois un homme et qu'une femme ne pouvait pas commettre cet acte abominable.

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Le 11 février 2016 au Tribunal de la jeunesse, CONTRE TOUTE ATTENTE, l'agente au dossier, agissant comme représentante de la DPJ, lors de son témoignage, fait des représentations à l’effet que : « (…) monsieur ne reconnaissait pas ses actes (…) (Gestes sexuels sur sa fille) » alors que  j'ai toujours nié ces actes, le tout, contrairement aux principes élémentaires de Justice;

 

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Le 4 Avril 2016,  la DPJ m'autorise enfin  à revoir mon fils Rayan de 12 mois mais à raison de 30 minutes par semaine . Seulement sur 20 visites de prévus, mon ex-femme en  annule 9, en inventant de fausses excuses.  Je clame toujours mon innocence

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Le  27 et le 30 juin 2016, Je passe avec succès les tests du polygraphe avec Jacques Landry (lieutenant à la retraite de la Sûreté du Québec, policier en enquêtes criminelles de haut niveau, il s’est spécialisé pendant les 16 dernières années de sa carrière dans le domaine de l’interrogatoire de suspects de crimes majeurs, dont 8 en tant que polygraphiste). Les résultats prouvent mon honnêteté. Je n'ai rien fait.

 

 

Entre le 21 janvier 2016 et le 9 septembre 2016, trois plaintes ont été déposé à mon égard.la première, pour menace de mort . La deuxième plainte a été anonyme, j'ai été accusé de faire partie d'une cellule terroriste avec l'intention de commettre un attentat dans un hôpital juif  et la dernière plainte, j'ai été accusé de faire du trafic avec la mafia française. Les 3 plaintes ont été classés sans suite. Une volonté sans vergogne de me nuire à tout prix.

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Le 27 septembre nous proposons a mon ex-femme de se soumettre au détecteur de mensonge, sans réponse de son avocate;

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Le 1er novembre 2016, l'enquête préliminaire est annulé car mon ex femme Mme Doumi ne peut se présenter pour des raisons médicales. Le certificat a été émis par un médecin en commun,  cela est reporté au 9 janvier 2017;

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A la lumière de tous ces éléments, j'ai indiqué aux enquêteurs qui était le donneur d'ordre de ce complot à mon égard mais ils ne souhaitent pas enquêter. J'avais averti lors de mes rencontres au tribunal criminelle et à la DPJ que mon ex-femme se préparait à fuir à l'étranger;

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Tribunal de jeunesse, le procès du 15/16/17/18 novembre 2016, La Juge ordonne  la visite supervisé de ma fille Zineb et une levée de suspension de visite supervisée pour mon fils Rayan et le 02 décembre 2016 mon ex-femme prend la fuite en direction de l'egypte;

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Le 17 juin 2017 à la cour supérieur chambre de la famille accorde le divorce et j'ai la garde des enfants.

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Le 28 juin 2018 ex-femme est contrôlée a Dubai la police informe Interpol depuis pas de nouvelle des Emirats car il n'y pas de d'accord d'extradition.